Chez Kaelle

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--Nabuchodonosor

MessagePosté le: 30 Nov 2008 16:16 Sujet du message: Répondre en citant
La nuit était tombée sur Dunkerque et l'ombre sortait de son trou. Son grand capuchon toujours sur les yeux qui l'enveloppait entièrement de noir, ses bottes silencieuses, il avançait dans les rues silencieuses de la cité.

Il ne pouvait s'empêcher de sourire en songeant aux bourgeois qui serraient plus fort leurs écus que leurs épouses, aux gueux qui ronflaient sur leur paillasse assomés de la fatigue des champs et au curé qui devait prier pour le repos de toutes ces âmes. Heureusement, tout ça lui était épargné.

L'ombre s'arrêta devant la maison de la blonde qu'il souhaitait "rencontrer". Il leva les yeux, une seule bougie éclairait une chambre à l'étage. Il savait que c'était elle, son idiot de mari préférait veiller sur ses concitoyens que sur sa femme. Sourire ironique.

D'un bond souple il franchit la petite barrière qui entourait la maison et se retrouva dans le jardin. A la force des bras, il se hissa sur le toit de l'appentis de la boucherie et se retrouva bientôt le nez collé à la fenêtre éclairée.

Comme il s'en doutait la blonde se mettait au lit et le spectacle qu'elle lui offrait le fit saliver. Il la ragarda ôter sa chemise avec un plaisir qu'il n'avait pas ressenti depuis bien longtemps. Chaque bouton qui sautait l'excitait un peu plus et losqu'elle dégagea une épaule, il sentit son pantalon le serrer un peu plus.

De l'angle où il était, il ne voyait que l'arrondi d'un sein caché par le bras. La jeune femme allaitait et le spectacle était plus rebondi que lorsque le mari avait dû la mettre dans son lit pour la première fois.

La jeune femme se tourna alors vers un coffre pour y prendre une brosse à cheveux et son sourire de prétadeur éclaira alors tout son visage. Il y avait bien une chose d'utile sur la production de mioches, c'était l'embellisement des mamelles. Et celle là en avait pondu deux, qu'il fallait maintenanir nourrir.

L'ombre attendait le moment de passer à l'action. Ce spectacle de femme qui ne se savait pas espionnée le ravissait au plus haut point et il savait pouvoir retaddrer le moment de son intervention. Il n'était pas pressé et la nuit était encore longue.

Kaelle posa sa brosse à cheveux, enleva sa ceinture et la jupe tomba au sol. Il la vit alors nue comme son bourgeois ne devait jamais l'avoir vu. Il l'imaginait bien ne venir dans le lit de sa femme que la nuit, les bougies soufflées sous des couvertures épaisses. Lui, prenait le temps de regarder les jambes fines, les cuisses fermes et l'initmité voilée d'une toison claire.

L'ombre se régalait de son spectacle et comptait attendre de voir si la jeune mère se distrayait un peu seule dans son lit avant de s'endormir lorsqu'elle s'approcha de la bougie pour la moucher. Elle se pencha dessus et le spectacle fit alors voir des merveilles à l'ombre.

Malheureusement c'est aussi à cet instant que leurs regards se croisèrent. D'ungeste vif, sa dague fut dans sa main droite, il fit sauter le loquet de la fenêtre et bondit dans la chambre avant même que le jeune femme ait pu crier. Il lui plaqua une main sur la bouche se délectant de la terreur qu'il lisait dans ses yeux.

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La nuit était tombée, Kaelle avait passé une partie de la matinée chez Edonice puis s'était décidée à laisser l'enfant à contre coeur. Le reste de la journée était passée rapidement, entre la boucherie, ses études, les jumeaux et le départ de Seb pour sa nuit de garde. La jeune femme en avait profité pour avancer un peu dans ses études, mais ses pensées s'étaient vite échappées. Aussi, laissant ses plumes et ses parchemins, elle sortit de son petit bureau et entra dans sa chambre. Comme à chaque fois, en voyant le berceau elle pensa à Adrienne, elle la savait sur les routes et cela l'inquiétait... même si elle était sous bonne garde, ce n'était pas facile de voyager en plein hiver.

Songeant toujours à son amie, Kaelle défit sa chemise, les jumeaux avaient faim. Elle n'espérait qu'une chose, qu'ils fassent enfin leur nuit. La jeune femme fredonnait une berceuse tout en allaitant son fils. Lorsque le nourrisson fut endormi, elle le déposa dans son lit. Elle prit ensuite Gaëlle dans ses bras, la fillette était bien plus menue que son frère. Moins gourmande, la jeune mère craignait que sa fille ne passe pas l'hiver. Cette pensée lui serra la gorge. Elle ferait tout pour préserver sa fille d'une mort prématurée. La petite fille s'endormit dans ses bras et Kaelle la posa délicatement dans le berceau. Elle releva délicatement une couverture sur le berceau pour protéger les enfants du froid de la nuit.

Lasse et fatiguée, elle prit enfin le temps de s'occuper d'elle. La journée avait été longue. Elle y repensa en se brossant les cheveux. Ce simple geste l'aidait à se détendre. Elle pensa à Edonice, qui passait sa première nuit seule dans sa cabane et cette pensée la fit frémir d'inquiétude. Reposant sa brosse la jeune femme défit sa ceinture laissant tomber sa jupe au sol.

Alors qu'elle se baissait pour éteindre sa bougie, Kaelle jeta un coup d'oeil par la fenêtre pensant à son époux, dehors par ce froid. Mais ce n'est pas le visage de Seb qui se dessinait derrière le carreau. Un homme était là et l'observait. Avant même qu'elle ne puisse réagir, il s'était précipité sur elle.

Kaelle aurait voulu hurler, mais il l'avait déjà bâillonnée. Qui était-il ? que voulait-il ? les questions se bousculaient dans sa tête. A la façon dont il jetait sur elle son regard lubrique la réponse était évidente.

Terrorisée, du regard elle chercha de quoi se défendre. Elle n'avait rien sous la main. La dague que félina lui avait offerte gisait au sol, accrochée à sa ceinture à quelques pas. Elle ne pourrait jamais l'atteindre.

Kaelle tenta de se calmer de réfléchir, mais la panique s'emparait d'elle. Son souffle s'accélérait, dessinant un sourire encore plus grand sur le visage de son agresseur. Les yeux de l'homme étaient fixés sur sa poitrine.
Calme toi ma grande ... calme toi c'est pas comme ça que tu vas t'en sortir pensa-t-elle. Son esprit calmé, elle se rendit compte que l'homme n'avait fait que plaquer sa main sur sa bouche. Terrorisée à l'idée qu'il la voit ainsi, nue et sans défense, elle ne s'en était pas rendu compte.

Reprenant courage, la jeune femme serra le poing et le lança de toutes ses forces dans le ventre de l'homme.

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Nabuchodonosor

Il souriait de toutes ses dents blanches en lisant la panique sur le visage de sa victime. Il se délectait de cet instant qui lui rappelait soudain pourquoi il aimait la vie. Il était grandement temps qu'il sorte de son trou et cette histoire le ramenait avec délice vers les plaisirs de la vie.

Sa respiration s'accélérait, causée par l'excitation de cette femelle nue avec ses appats dévoilés. Qu'allait-il faire ?

La question lui fut fatale, elle venait de lui décrocher un coup de poing dans le ventre. Sa constitution athlétique lui permit d'encaisser le coup en étouffant un son de douleur.

Il la regarda avec une surprise amusée. La garce serait plus distrayante que prévue. Sa main gauche toujours sur la bouche de sa victime, il la poussa violement en arrière, appuyant son corps pour que la chute fut plus rude.

Ils s'écroulèrent tout deux sur le sol. Lui, profita de la surprise de sa prisonnière pour lui attraper les deux poignets dans sa main droite. Il commença à lire la panique dans le regard de la bourgeoise. Son plaisir en fut accru et elle devait sentir son désir contre son ventre blanc. Ce contact devait la dégoutter et il en fut encore plus excité.

D'un coup de genou dans les cuisses, il ouvrit ce dernier barrage vers l'intimité de sa victime. Il avait gagné, il pouvait faire d'elle ce qu'il voulait, son but était atteint. Il se pencha un peu plus sur elle, laissant son souffle errer sur con avant d'atteindre son oreille. Il resta ainsi un instant. Il allait lui dire la raison de sa visite puis se ravisa.

Parler c'était devenir humain. La bourgeoise sortirait de sa terreur pour revenir à la réalité. Il appuya un peu plus son genou entre ses cuisses, se redressa pour la scruter avant de lui sourire sadiquement.

Il enleva la main qui la baillonnait, caressa la toison dorée avant de se lever d'un bond rapide. Il savait qu'elle allait hurler, que le voisinage allait arriver, mais déjà il ne serait plus là. Pour les occuper, il lança au passage la bougie dans les draps et courut à la fenêtre.

Deux bonds plus tard, il était dans le jardin avant de devenir une ombre parmi les ombres de la nuit.

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Kaelle

La réaction de l'homme ne se fit pas attendre, il la poussa si violemment en arrière que le choc sonna Kaelle. Vu ce qui l'attendait, la jeune femme se dit qu'après tout, ne pas se rendre compte de ce qui se passait pouvait encore être le mieux pour elle.

Pourtant elle sentit le corps de ce porc contre elle, sa main sur ses poignets pour l'empêcher de bouger. Elle était dégoutée, écoeurée, une nausée lui monta aux lèvres alors que d'un coup de genoux il lui écarta les jambes. Elle tenta alors de mordre cette main qui la baillonnait mais il appuyait trop fort sur ses lèvres pour qu'elle puisse faire quoique ce soit. Résignée, incapable de bouger, elle ne pouvait que le laisser faire.

Lorsqu'il se pencha vers son oreille, Kaelle eut du mal à retenir la nausée qui montait. Voulait-il parler ? elle ferma les yeux un moment, sa tête lui faisait mal. Mais il la relacha, se releva, avec difficulté, la jeune femme ouvrit les yeux. Elle le vit faire un mouvement vers la droite puis ressortir par la fenêtre.

A cet instant, l'incomprehension s'empara de la jeune femme autant que la terreur. Il était entré chez elle, l'avait vue dans son intimité. Elle s'assit péniblement sur le sol, sa tête tourna. Une lueur étrange sur sa droite. Kaelle étouffa un cri, sa couverture prenait feu. Elle tourna la tête pour chercher de l'eau. Le baquet était resté en bas. Elle se leva rapidement, trop rapidement, la tête lui tourna. Posant une main sur le front elle se demanda que faire. Il fallait agir et vite, elle attrapa le bord opposé des couvertures et le rabattit sur la partie enflammée. Les flammes s'étouffèrent. Le début d'incendie était maitrisé.

Reprenant son souffle, la jeune femme réalisa ce qui venait de se passer. Elle ouvrit un coffre, attrapa un drap et s'en enveloppa. Puis, elle se dirigea vers la fenêtre que son agresseur avait laissé ouverte. Elle ferma le volet et la fenêtre. Elle dévala ensuite les escalier qui menaient au rez-de-chaussée, clotura tous les volets avant de fermer la porte à double tour et de s'adosser contre elle.

Kaelle ferma les yeux et se laissa glisser au sol, elle réalisa qu'elle n'avait pas appelé au secours, mais à quoi bon ? il devait être loin déjà. Alors elle laissa ses larmes couler et se mit à pleurer. Elle réalisa que si elle n'était pas sortie pour appeler à l'aide c'était parce qu'elle avait peur, peur qu'il soit encore dehors. Ses larmes redoublèrent... elle resta prostrée ainsi le reste de la nuit ...

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Seblebeau

contrairement à son habitude seb le beau rentra tot ce soir là...il faut dire qu'il n'etait plus de garde , il avait passé sa journee à fariner et il avait decidé de rentrer pour enfin passer une jolie petite soiree en famille...

arrivant aux abords de la maison , il ne se souciait de rien d'autre que du bonheur de pouvoir enfin passer un bon moment en compagnie de sa femme.... il ne vit pas de lumiere mais ne s'alerta guere car si les enfants faisaient une sieste , kaelle avait surement baissé la lanterne pour qu'ils ne soient pas genés...lorsqu'il voulut entrer , il trouva la porte fermée... cela lui sembla drole mais ne s'en fit toujours pas; ils etaient surement partis finalement se promener jusqu'en taverne ou chez Edonice pour voir comment allait la petite... il prit donc la clé cachée (j'vous dirai pas ou) et ouvrit la porte, il preparerai un p'tit repas treanquilement en attendant leur retour... il poussa la porte et....

et elle ne s'ouvrait pas!!!! mais que se passe t'il donc? il poussa un peu plus pour essayer de retirer ce qui bloquait...la porte s'entrouvrit de quelques centimetres et il entendit un leger sanglot...

son sang ne fit qu'un tour , il se rendit compte que ça n'allait pas du tout ; il s'etait passé quelquechose pendant son absence!! kaelle? tu es là? c'est toi? ... ouvres moi mon amour... c'est moi!!
il avait crié malgré lui , la panique s'emparait de lui ; ne pas pouvoir ouvrir la porte le stressait....

au bout d'un temps qui lui parut une eternité il reussit à ouvrir suffisament la porte pour se glisser à l'interieur.... kaelle etait derriere la porte à moitié nue, juste entourée d'un drap et son etat etait deplorable; elle sanglottait et elle ne voulait pas qu'il l'approche... apres quelques longues minutes il finit enfin par pouvoir la prendre dans ses bras; il l'amena dans son lit , la coucha , tenta de la rassurer.... elle ne pouvait se detacher de la fenettre entrouverte...il alla la fermer et ce fut comme une liberation... elle lui expliqua ce qui lui etait arrivé; l'homme qui la tenait, qui la touchait, qui riait devant son epouvante... sa façon de la regarder ...

seb resta longtemps aupres d'elle... il la cajola, la rassura... il lui fit une tisane avec quelques herbes que poupoule avait laissé pour l'apaiser lors de son acouchement...elle finit, au bout de quelques heures par reussir à la faire dormir un peu...

seb se retrouva dans le silence pesant de la maison et sursauta d'un seul coup : les enfants!!!! il n'avait pas entendu les enfants depuis qu'il etait rentré!!! il se precipita vers la chambres des petits et.....

...et les enfants dormaient à point fermé; ils n'avaient rien entendu , rien perçu de tout ce qu'il etait arrivé et semblaient dormir d'un someil angelique. Seb respira enfin !!! la quietude de ces deux là lui donna un peu de force. il retourna aupres de Kaelle et s'allongea pres d'elle mais ne dormit pas; il la soutint dans ses cauchemard, la protegea , un peu tard mais se promit de plus jamais decoucher... la ville se garderai bien sans lui, il avait une famille à proteger avant tout!!

si je tiens celui qui a fait ça....je le tue

Seblebeau avait une petite idee du genre d'homme capable de faire de telles choses et enqueterai pour vanger sa femme et pour que ce saligau ne fasse plus jamais de mal à une femme!!

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Kaelle

Lorsque la poignée de la porte se baissa, Kaelle sursauta. Le bruit de la clé dans la porte la terrorisa, elle s'appuya de toutes ses forces contre la porte. Peut importe qui c'était il n'entrerait pas.

kaelle? tu es là? c'est toi? ... ouvres moi mon amour... c'est moi!!

La jeune femme se recroquevilla sur elle-même et si ce n'était pas lui justement. Elle ne bougea pas. Mais il réussit par entrer et la terreur s'empara d'elle jusqu'à ce qu'elle réalise enfin que c'était Seb. Elle le laissa la prendre dans ses bras. Remonter dans la chambre fut une épreuve qu'elle cru insurmontable. Elle avait réussit à refermer le volet mais pas la fenêtre. Son époux réussit sans soucis. La jeune femme soupira de soulagement et lui raconta enfin ce qui s'était passé entre deux sanglots.

La tisane qu'il lui apporta lui fit du bien et Kaelle finit par céder aux assauts du sommeil qu'elle refusait. A chaque fois qu'elle fermait les yeux, elle le revoyait Lui ! Juste une pensée et elle était à nouveau terrifiée.

Sa nuit fut peuplée de cauchemars et le petit jour la soulagea, elle s'endormit enfin vraiment d'un sommeil lourd et sans rêve. Lorsqu'elle rouvrit enfin les yeux, elle vit Seb, les jumeaux dans les bras, tenter de calmer leur faim. Un léger sourire se dessina sur le visage de la jeune mère. La vie reprenait, mais le plus terrible restait à venir : oser sortir de la maison...

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Mcisis

Mcisis frappa à porte . Elle chantonnais en attendant que Seb ou kaelle lui ouvre .

Ouuuuuh Ouuuuuh y a quelqu'un ?

La porte s'ouvrit enfin Seb était là avec une mine défaite .

Et bien bouchon qu' est qui t'arrive ? C' est les enfants ? Kaelle ?

Mcisis monta les marches pour aller à l 'étage et vit dans une chambre les jumeaux qui gazouillaient de concert .

Ecoute Seb quand tu voudras m 'en parler tu me diras ce qui ne va pas . En attendant j 'emmene les deux petiots en prommenade .

J' ai fini ma pastorale bouchon il n 'y a plus qu' a arreter une date pour mon baptême , tu veus bien être mon parrain ?

Elle regarde son ami ne sachant que faire pour l'aider.

Je suis là si nous avez besoin de moi . Vous le savez .

Allez mes doux anges marraine est là , on va prendre l'air .

Mcisis fit une bise à seb et sortie avec les jumeaux dans les bras . Elle les installa bien confortablement dans sa brouette qui lui servait à faire ces livraisons et qu'elle avait transformé pour l'occasion en poucette de fortune .Avec beaucoups de douceur , elle recouvrit les jumeaux d'un chale et d'un plaide afin qu'ils n 'aient pas froid.

Embrasse Kaelle bouchon , nous allons gouter sur le port il fait trops beau aujourd'hui .

Mcisis partie avec les deux petiots en direction du port la mine faussement joyeuse .

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Kaelle

Seb venait de remettre les jumeaux dans leur chambre lorsqu'on frappa à la porte. Kaelle sursauta. Elle reconnut la voix de Mcisis. La jeune femme se leva pour pousser la porte de la chambre, elle n'avait envie de voir personne.

Elle retourna sur sa couche, calant son dos contre le mur, elle se recroquevilla sur elle-même enserrant ses jambes dans ses bras. La jeune femme écouta la conversation. Mc emmenait les enfant en ballade. Kaelle soupira de soulagement, elle n'avait absolument aucune envie de sortir. Mais ce n'était pas bon pour les jumeaux de rester enfermer. Le choix qu'il avaient fait pour la marraine des jumeaux était le bon.

N'écoutant pas la suite, Kaelle posa son menton sur ses genoux et ferma les yeux un instant. Mais l'odieux visage se dessina à nouveau derrière ses paupières closes. Elle frissonna, resserrant la couverture autour de ses épaules. Elle savait qu'elle devait se ressaisir, reprendre le dessus. Elle se savait forte mais pourtant, à chaque fois qu'elle fermait les yeux, à chaque fois qu'elle pensait à mettre un pied dehors, une terreur sournoise s'emparait d'elle à nouveau. Des larmes de rages coulaient sur ses joues alors que la porte se fermait sur Mcisis et les jumeaux...

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Seb

Seb avait laissé les jumaux partir avec Mcisis; ils etaient bien mieux avec leur tante plutot que de rester à la maison alors que leurs parents n'avaient pas trop le coeur à s'occuper d'eux...les voyants partir , seb ne sut pas trop quoi faire de ses deux mains; il s'en alla donc preparer un bon petit dejeuner et le remonta à sa femme qui ne voulait plus sortir de la chambre... il faudrai beaucoup de patience pour la reconforter de nouveau, l'aider à vaincre ses peurs et lui redonner gout à la vie.

il prit donc un air gai pour retourner voir sa femme :
cherie , j't'ai preparé un petit encas ...il faut manger,tu en as besoin
kaelle etait inerte, enroulée dans sa couverture; il posa le plateau sur la petite table pres du lit et vint pres d'elle...il voulut lui caresser le visage mais elle s'ecarta, ne supportant pas qu'on la touche. seb ne la laissa pas faire, il revint pres d'elle et la toucha, l'etreignit, la garda pres de lui un bon moment avant qu'enfin elle se detende dans ses bras.. il faut faire quelquechose...on peut pas rester là, il faut prevenir la marechaussée, les gens , pour qu'ils se mefient; il faut trouver cet homme qui fait le mal, j'pense que c'est le seul moyen pour que tu puisse t'en remettre...

apres ces paroles il sentit que sa femme reprenait peu à peu le dessus.les larmes qui sortaient devenaient des larmes de haine pour cet inconnu; sans nul doute kaelle remplaçait sa peur par de la rage...

on va renforcer un peu notre maison pour que plus personne ne puisse rentrer chez nous comme ça; et puis je resterai là ,s'il est arrivé quelquechose c'est de ma faute, j'etais pas là pour toi, c'est pourtant mon role d'aimer ma famille avant tout le reste

la force qui revenait en kaelle en donnait à son mari qui en une nuit avait changé; il deviendrai sans pitié pour ceux qui oseraient toucher aux siens,en lui meme il s'en fit la promesse!!
j'vais aller dire à Mcisis ce qu'il est arrivé, elle est policiere ,il faut qu'elle sache qu'il ya des ignobles personnages dans le coin... faut pas garder ça pour nous sinon le crime restera impuni!!

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Mcisis

Mcisis se dépéchait , elle arriva éssouflé devant la porte de Kaelle et de Seb .
Elle tapa à la porte et pendant qu' elle attendait qu'on lui ouvre , arrangeais avec beaucoups de tendresse les couvertures de ça poucette, brouette .

Il faut que je vois un charpentier pour qu'il me construise un petit chariotse sera plus confortable pour les jumeaux .

Seb lui ouvrir la porte .

Bonjour bouchon lui dit elle en lui faisant une grosse bise .J 'ai un petit moment de libre j'emméne mes amours prendrent l'air , va me les chercher s' il te plait .

Elle attendit que seb dépose doucement les jumeaux dans la poucette et les recouvrit d'un châle et d'une couverture .

Mcisis regarde Seb . Dis moi mon grand pour l'instant je ne demande rien , mais demain je reviens et je veus voir Kaelle quitte à défoncer la porte vu .

Mcisis fit une bise à Seb et lui caressa la joue . Occupe toi bien de ta femme et demain je veus avoir le fin mot de l 'histoire .
En piste mes amours direction le port .

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--Les_jumeaux

Tiens, papa nous prend dans les bras, il est toujours aussi triste. On va voir maman ? Ha non on descend les escaliers. Un regard vers mon frère. Il gazouille et essaie d'attraper la barbe de papa. C'est vrai que c'est rigolo ça. La porte en bas est ouverte. Brrrr y fait froid ! il est fou papa de vouloir nous laisser sortir faut lui dire.

aaaaa heuuuuuu

Ha oui c'est vrai je sais pas dire plus que ça pfffff. Oh c'est la gentille dame qui nous promène. Comment qu'il a dit déjà papa ? Tata ? c'est quoi une tata ? "En piste mes amours, direction le port" Chouette ! elle nous a remis son châle tout doux sur la figure. J'aime bien me promener avec elle t'en penses quoi frérot ? Allez un coup d'coude pour faire réagir ce gros paresseux !

Rhooo mais elle va arrêter de m'ennuyer celle ci ! je m'étais presque rendormis ! déjà que papa me sort de la sieste v'la qu'l'autre nous met dans le froid. Je veux mon lit moi ! Tiens j'vais lui faire comprendre à la dame que ça m'a pas plu !

OUINNNNNNN ! OUIIIIINNNNNNNNNNN !

Voilà j'me calme un peu fallait juste qu'elle comprenne. Un petit haut le coeur pour la forme, un coup de poing à ma soeur et je me rendors nan mais !

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Kaelle

Seb était monté avec un plateau plein de victuailles. Mais elle avait toujours la gorge serrée et rien ne passait. Kaelle n'aurait pu avaler quoique ce soit. Il s'en rendit bien compte et la prit dans ses bras. Au début elle l'avait repoussé puis s'était laissée faire lorsqu'il l'avait forcée.

Lorsqu'il parla de prévenir la maréchaussée, elle hocha simplement la tête. La jeune femme se sentait bien dans les bras de son époux et n'avait aucune envie d'en bouger. Elle l'écouta parler, mais n'avait pas envie de dire un mot.

Doucement, elle reprenait des forces, mais l'idée même de sortir de chez elle la terrorisait. Quand le silence se fit elle répondit.

Ce n'est pas ta faute. Va prévenir Mcisis, tu as raison. Et ... il faut que tu passes voir si tout va bien chez Edonice. Je suis doublement inquiète à présent.

La jeune femme regarda son époux quitter la chambre. Il avait raison, elle devait se ressaisir mais ... si cette épreuve était l'épreuve de trop ? elle n'avait plus de courage, ne savait plus où puiser la force de continuer ...

A l'étage du dessous, elle entendit la voix de Mc. Un léger sourire se dessina sur le visage de la jeune femme. Personne ne l'obligerait à sortir de chez elle.

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Mcisis

Mcisis arriva devant la porte de Kaelle et de Seb . Elle prit une profonde inspiration et tapa . Seb lui ouvrit et elle entra .

Bonjour bouchon comment vas tu aujourd'hui ?

D'un pas ferme monta les marches jusqu' a la chambre de Kaelle.Elle ouvrit la porte et trouva Kaelle allongeait sur le lit les yeux dans le vague .S'approchant d'elle , elle vit dans son regard une tristesse immence .Elle lui fit une bise et caressa sa joue .
Mcisis regarda Seb et croisant son regard dit d'une voix douce mais sans appel .

Kaelle nous allons promener les jumeaux je te donne 5 minutes pour t'habiller . Bouchon si tu veus venir tu es le bien venu . Kaelle tu n'as rien à craindre tu vois je suis en service

Mcisis alla dans la chambre des enfants et prit gaël dans ces bras . Alors mon gros pépére tu vas ne râle pas aujourd'hui .

Elle serra l'enfant dans ces bras et lui fit une bise toute douce . Tu vas en faire craquer des coeurs toi , comme ton père .

Seb prit Gaëlle dans ces bras et il descendirent ensemble pour installer les enfants dans la poucette .

Pendant que je finit d'installer les enfants va chercher Kaelle on vous attent

Elle se pencha vers les deux amours et avec infinie tendresse les couvrit afin qu'il n'aient pas froid . Elle déposa un bisous sur la jour de Gaëlle .

Ma petite princesse tu es belle comme un coeur .On attend papa et maman et on va se promener

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Kaelle

Kaelle nous allons promener les jumeaux je te donne 5 minutes pour t'habiller . Bouchon si tu veus venir tu es le bien venu . Kaelle tu n'as rien à craindre tu vois je suis en service.

Kaelle regarda Mc s'en aller, le sourire qu'elle adressa à la jeune femme ressembla plus à une grimace... S'habiller... sortir... elle n'en avait aucune envie. Elle se dit qu'à force de patienter, Mc finirait bien par abandonner... quoique... elle la savait déterminée. Mais la jeune mère était épuisée par la nuit cauchemardesque qu'elle venait de passer lui avait oté le peu de forces qu'elle avait reprit la veille...

Leur amie promenait les jumeaux c'était amplement suffisant, car qui disait promenade avec elle, disait devoir parler et ça Kaelle n'en avait aucune envie. Ses pensées s'envolèrent vers son frère. Que devenait-il lui ? Elle ne l'avait pas vu depuis cette fameuse nuit. Elle soupira, lança un regard hésitant vers ses vêtements mais finit par se recroqueviller sur elle même.

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Mcisis

Maman ne viendra pas mes amours , on essayera demain . Allez en avant c' est partit pour la promenade .

Mcisis s'éloigna avec les jumeaux , elle essayera demain se promit elle .

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Kaelle

Kaelle finit par se lever en se pelotonnant dans une couverture. Elle alla jusqu'à la fenêtre et regarda Mc partir avec les jumeaux. La jeune mère eut la gorge serrée en voyant quelqu'un d'autre promener ses enfants. Aussi elle se promit que le lendemain elle ferait l'effort de sortir. Elle ne pouvait pas rester comme ça.

Elle revint vers le lit, jeta un coup d'oeil vers la fameuse lucarne et grimaça de terreur. Mais il n'y avait personne derrière, aussi, elle se décida enfin à enfiler ses vêtements et à descendre les marches qui menaient à la cuisine.

Seb était sur le pas de la porte pensif. Elle s'approcha doucement, et l'enlaça.

Je crois que ... j'ai faim. Tu me ferais un des petits plats dont tu as le secret ?

Kaelle se serra contre son époux, sa présence, la chaleur de son corps la réconfortait. Au loin, Mc disparaissait dans un virage. Kaelle sourit franchement cette fois.

Je crois qu'on a fait le bon choix.

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Seb

seb regardait par la fenettre mcisis s'eloigner lorsqu'il entendit kaelle descendre les escaliers... il vint à sa rencontre et elle se blottit dans ses bras et....elle semblait beaucoup mieux...elle lui demanda un petit repas tranquillou puis se mit à sourire!!ahhh quelle joie de la voir ainsi...la vie allait reprendre son cours il en etait persuadé..

seb attrappa la main de sa femme et l'amena jusque la cuisine; il l'assit sur le banc,l'embrassa et lui dressa le couvert avant de courir jusqu'aux fourneaux pour lui preparer un bon p'tit plat dont il avait le secret:

Chez Kaelle - Page 2 Coquillesstjacquesauxpemo8

By SEBLEBEAU

preparé avec amour , mon ange;regales toi , c'est bon pour le moral

seb s'assit aupres d'elle pour pouvoir la regarder renaitre; elle avait un visage d'ange...

lorsqu'elle eut terminé , seb la vit regarder par la fenettre; on pouvait voir qu'elle avait envie mais aussi peur d'aller dehors...il alla donc ouvrir la fenettre ,l'air frais lui donnerai du courage et ça serait encore un petit pas de parcouru sur la reconstruction de son moral!! au bout de deux minutes il referma vite^^ faisait vraiment trop froid!!!

que dirais tu d'aller chercher nos enfants chez mcisis? c'est à deux pas, on en aurait pour cinq minutes , ma belle....en plus faut qu'j'rachete du pain...on ferait d'une pierre deux coups!! seront content nos deux p'tits bouts de voir que leur maman va bien, ils s'ennuient je crois de toi...j'ai un peu de mal avec les changes et leur fesses sont toutes irritées...en plus ils ont pas aimé le lait de vache que j'ai ramené...ils preferent celui de leur maman cherie...

heureusement que tantine mcisis etait là , j'avais pas le coeur à les faire gazouiller...elle est drole quand elle veut ; ils etaient mort de rire quand elle leur a fait des grimaces

Messages : 265 Date d'inscription : 04/11/2008

Kaelle soupira. L'idée même de mettre les pieds hors de la maison ne la rassurait pas, pourtant, c'était à la maison qu'elle s'était faite agressée. Sans dire un mot, elle attrapa sa cape, la noua autour de son cou, tendit son manteau à Seb pour qu'il l'enfile et lui attrapa le bras.

Tu t'éloignes pas de moi une seconde, d'accord ?

Soupirant un grand coup, la jeune femme ouvrit la porte et sortit au bras de son mari. Si jamais on lui posait la question elle trouverait bien à dire qu'elle avait eut ... une grosse toux.

Heu ... c'est par où chez mc de nouveau ? j'suis passée devant qu'une fois.

Messages : 265 Date d'inscription : 04/11/2008

Cajoline (édité puisqu'elle a édité son post d'origine)

Cajoline avait passé une semaine fatiguante, la pêche et son champ lui demandait beaucoup de travail...elle avait donc décidé de se reposer un peu, de prendre un peu l'air et d'aller voir tous ses amis qu'elle avait un peu délaissée cette semaine.

Aussi d'un bon pas, elle se dirigea vers la demeure de Kaëlle et Seblebeau, lorsqu'elle y arriva, ils sortaient juste de chez eux...

Cajoline tout en avancant se dit que quelque chose n'allait pas...Kaëlle était accrochée au bras de Seb, son visage était tendue, elle regardait autour d'elle...et Seb semblait lui aussi tendu...Cajoline les sentait stressés...

Bonjour mes amis, elle leur plaqua deux grosses bises à chacun
Je suis venue voir comment ca allait, j'ai pas été beaucoup là cette semaine...désolée - elle fit une petite moue et continua et puis je voulais faire un petit coucou à vos deux petits bouts d'amour, ils sont pas avec vous ?

Messages : 265 Date d'inscription : 04/11/2008

Kaelle fit la moue ... Cajoline était adorable mais pouvait-elle seulement comprendre ?

Bonjour Cajoline. La jeune femme sentit que sa voix était tendue. Elle tenta de reprendre son calme. Elle respira profondément avant de lui sourire et de reprendre.

C'est que ... je n'étais pas très en forme ces derniers jours alors leur marraine a décidé d'aller promener avec eux. C'est gentil à toi de t'inquiéter pour eux. Ils doivent être du côté du port, ou chez Mc... Tu fais un bout de route avec nous ?

Parler le moins possible, surtout éviter de parler d'elle même c'est tout ce que Kaelle demandait. La présence douce et amicale de Cajoline lui réchauffait le coeur. Après les heures qu'elle venait de passer, se sentir entourée lui faisait du bien. Aussi, la jeune femme attrapa le bras de Cajoline pour qu'elle les suive.

On y va?

Rastignac Messages : 216 Date d'inscription : 25/08/2008

Cajoline22
Posté le: 07 Déc 2008 09:48

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Cajoline était un peu rasurée Kaëlle semblait allez bien...mais juste un peu rassurée...elle sentait bien que quelque chose clochait...mais peu être se faisait-elle des idées...

Kaëlle lui prit le bras et lui proposa de faire un bout de route avec eux, Cajoline sourit...

Volontier Kaëlle, allons y

Et tous ensemble ils se dirigèrent vers le port.

Messages : 265 Date d'inscription : 04/11/2008

Domy11

Il fallait qu'elle en parle, il fallait absolument que les gens se concertent au sujet de ce danger omniprésent à Dunkerque...
Domy se présenta donc à la porte de la maison de Kaelle et Seb, bien décidée à chercher une solution avec eux.

Le fait même de parler de ce qui lui était arrivé ferait du bien à Kaelle...Elle en était sûre.
On avait discuté de son agression en taverne et il semblait que le choc avait été si rude qu'elle restait prostrée chez elle depuis.

Mais ,finalement, lorsque Domy arriva devant le "Cochon rieur", elle aperçut Kaelle qui revenait chez elle avec Cajoline et Mcisis.
Elle allait donc mieux...

Micsis lui avait peut être parlé du récent drame qui s'était déroulé dans les dunes?

Elle sourit aux trois jeunes femmes et se pencha sur les adorables bébés qui gazouillaient dans leur charette.

"Bonjour!! Je me présente car nous ne nous sommes qu'aperçues en taverne l'autre soir...
Je suis Domy, nous nous installons avec mon futur époux...Vous savez? La maison en construction vers la falaise...
Je ne voudrais pas vous déranger mais je voulais juste prendre de vos nouvelles et...Si vous vous en sentez la force, nous pourrions discuter un peu de tous ces évènements...
Votre mari est il là??
Il est garde m'a-t-on dit...
Il faut qu'on fasse quelque chose..."

Puis, posant la main sur le bras de Kaelle:
"Je comprends d'autant mieux ce que vous ressentez que ce monstre m'a attaquée aussi hier soir dans les dunes..."

Messages : 265 Date d'inscription : 04/11/2008

Kaelle

La promenade lui avait fait du bien, et elle rentrait chez elle en discutant avec Mc et Cajoline lorsque Domy s'approcha d'elles. Kaelle fit la grimace lorsqu'elle parla de ce qui lui était arrivé.

Je me rappelle de vous. Nous nous sommes croisées à la sortie de la messe. Mon époux est entrer mettre nos jumeaux au lit. Je ... vous avez raison, il faut faire quelque chose. Mais ne restez pas dehors. Kaelle ragea intérieurement, elle se trouvait totalement incohérente, et surtout effrayée à l'idée de rester dehors alors que la journée touchait à sa fin. Rentrons, je vais faire un vin chaud et nous pourrons discuter tranquillement. Cajoline, Mc, cela vous tente ? enfin tenter d'entendre tout ça je ne crois pas que ce soit le mot mais ... bref, vous venez ?

La jeune femme poussa la porte de sa maison et fit entrer ses hôtes leur proposant de déplacer un banc de la cuisine vers devant la cheminée pour se réchauffer. L'hiver était là, mordant et Kaelle se demanda si les jumeaux verraient bientôt leurs premiers flocons de neige.

Messages : 265 Date d'inscription : 04/11/2008

Mcisis

Mcisis entra et déposa à l 'entrée son épée et son bouclier .Elle alla s'asseoir sur le banc prés du feu et attendit que tout le monde s'installe . Elle sourit à Kaelle , elle était là en amie pas comme représentante des forces de l'ordre .Elle attendit donc que Kaelle en maîtresse de maison prenne la parole .Elle tendit les mains vers le feu pour les réchauffer et regarda les flammes , leurs dansent folles l'apaisait et elle laissa divaguer ses pensées .

Messages : 265 Date d'inscription : 04/11/2008

Cajoline

Cajoline avait apprécié la promenade avec Kaëlle et Mcsis...elle ne comprenait pas tout ce que Domy avait dit...il faut dire qu'elle n'était pas beaucoup sorti ces derniers temps...qu'était-il arivé à Kaëlle? qu'est ce qui avait bien pu se passer à Dunkerque ces derniers temps? elle comprennait un peu mieux pourquoi elle avait l'impression quelque chose n'allait pas...

Cajoline entra chez Kaëlle, ne sachant quoi dire, ni trop quoi faire..elles avaient déplacé le banc devant le feu...Cajoline s'était adossé au mur près de la cheminée...

Elle était curieuse mais elle savait qu'il ne fallait pas forcer les choses avec des questions...

» Chez Domy et Fabrizio