Fabrizio
Du haut de l'escalier menant aux chambres et à son bureau, une silhouette vêtu simplement écoutai ce qui se disait en bas dans le salon.Une main serrant au plus fort la rampe, à en blanchir ses phalanges.
Ses yeux bleues s'allumèrent soudainement, puis affaissant sa teste , il se perdit dans ses souvenirs...Cassandre..Guyenne...Farena..Flandre et par finir Will.
Sa dextre se porta à sa poitrine , y cherchant un petit sac en vieux cuivre qui pendait le plus souvent sous sa chemise, alors refermant son poing dessus malgré son absence,Fabrizio en éprouva le besoin à ce moment là.Tel un manchot cherchant absolument la présence d'un bras manquant.
Quand il entendit la petite crier de voir sa mère le plus vite possible,Fabrizio en sourit;Quelle impatience trainait dans son sang,enfin faut dire que c'est compréhensible.
Étouffant les gémissement de leur louve, les cries de joie et d'impatience de la jeune Edonice, lui rappelait tant de choses à son esprit que sentant son coeur battre si vite , il venait d'avoir confirmation de l'information qu'il savait depuis quelques jours.
Sa main quitta la rampe d'escalier, Fabrizio fit demi-tour et rentra dans son bureau, prit au vol sa cape et un papier, puis il descendit se présenta à la petite et tout en donnant un baiser dans le cou de sa femme, il adressa un sourire à toutes les deux.