Près d'une rivière ...

Posté par Cassandre le: Mer Nov 28, 2007 9:30 am Sujet du message: [RP] Près d'une rivière... (le camp des mercenaires 2)

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Près du camprement coulait une rivière.

Tous y étaient passés, y puisant l'eau pour la nourriture, la boisson ou les besoins du camp. Ils y venaient laver leurs mains pleines de ce sang qu'ils répandent si facilmenet.

Tout le monde connaissait la rivière. Certains avaient dormi près d'elle, d'autre avait tenté de fuir par elle, ou essayait encore d'y séduire une femme...

Posté par Vyvianne le: Mer Nov 28, 2007 9:48 am Sujet du message:

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Vyvianne regarde Jean Jean l'air plus que révolté... A ses yeux, il est répugnant...

Elle tente le plus possible de soustraire son cou à ses lèvres...

Et puis tout d'un coup, elle sent ses fesses pincées, d'un geste brusque, elle essaie de se débattre au maximum, mais ses bras sont forts...

et lorsque la main de Jeanjean essaie de relever sa jupe, elle se défait de son emprise partiellement, la peau mordue... de sa main libre, elle rabat sa jupe relevée... et elle tourne sa tête vers lui lui crachant au visage sa haine et son dégout de lui en hurlant tant qu'elle peut...

Espèce de brute épaisse, maintenant, tu vas me lâcher... si tu veux assouvir tes pulsions masculines, vas voir ailleurs, je ne suis pas une pouliche... lâches-moi...

De ses poings libres, elle le frappe maintenant de toutes ses forces.

Posté par Malanguisevle: Mer Nov 28, 2007 12:55 pm Sujet du message:

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Le soleil se pointait à l'horizon quand elle s'éveille . Nichée au creux de ses bras , elle y serait bien resté encore et même indéfiniment .
Elle garde les yeux fermés , et capture chaques sensations , chaques impressions que son corps lui envoie .
Il est là , contre elle . Ses bras l'entourent , l'enveloppent . Sa respiration est calme . Il doit dormir encore .
garde les yeux fermés, écoute son coeur qui bat lentement .
sourire,les yeux mi clos
s'affolera t il si elle touche , caresse ....
Sa main s'aventure sur son torse , encore tout chaud de leur proximité .
doucement se glisse , et se faufile , à même sa peau
laisse les yeux fermés ,
sa tête posée sur sa poitrine écoute ....
respire son odeur , c'est lui et nul autre , il est là avec elle et tout va bien .
Sa main s'aventure doucement descend sur son ventre qui se soulève calmement .
sourire encore
il dort profondément
ses yeux .....lui manquent
son regard sur elle .
ses yeux dans les siens ...vite
lui dire son amour , et qu'il le lise
Alors sa bouche glisse à son tour , ses lèvres frôle son cou et sa main vient caresser sa joue doucement , rapeuse, puis son menton vient s'y frotter et ses lèvres vient chercher les siennes et murmurer dans son souffle à peine perceptible

bonjour toi, réveille toi , j'ai quelque chose à te dire ....je t'aime

Posté par Jean-jean le: Mer Nov 28, 2007 2:21 pm Sujet du message:

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Jean-jean sourit au premier coup de poing.

"Donne dont à Aristote l'impression d't'défendre, tes coups sont pour moi des caresses ma pouliche sauvage."

Son bras qui enserrait la jeune femme ne se relâchait pas, le pressant un peu plus contre lui. Son autre paluche se posa alors sur le décolleté avant de se glisser sous le tissus, atteignant un sein ferme qu'il enserra.

"Du premier choix ma belle ! J'dois bien prier Aristote..."

Un des poing de Vyvianne s'abattit sur la lèvres du guerrier, faisant jaillir un peu de sang.

"N'abîme pas mon beau visage !"

La main qui tenait un sein l'instant d'avant, vola vers le menton de la jeune femme, arrachant le haut du vêtement au passage. Le coup de poing, faisait déjà une marque rouge sur le visage de l'herboriste. Jean-jean lui serra alors le cou, la fixant dans les yeux.

"Assez ris !"

Il la poussa alors brutalement sur le sol, la faisant tomber à ses pieds.

Posté par Brisenuque le: Mer 28 Nov 2007 19:49 Sujet du message:

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Moment béni entre rêve et réalité, ou le sommeil s'éclipse lentement.
L'éveil sous ses mains caressantes est merveilleux, ses doigts qui l'explore le tire doucement des songes ou elle était également.
Il ouvre les yeux au moment ou sa bouche vient effleurer la sienne, caresses des lévres , caresses des mots susurrés.

Malgré les conditions difficile des derniers jours son visage s'illumine d'un sourire radieux, rien n'est plus précieux que de s'endormir près d'elle et de s'éveiller à ses cotés, tant que cela durera son bonheur sera sans faille.
Sa bouche saisit lentement la sienne dans un baiser langoureux, avant de murmurer à son tour.

Bonjour toi, quel délicieux réveil.

Leurs yeux se croisent se sourient également, il l'attire l'enlace un peu plus, mains qui se font vagabondes , glisse sur son dos, sous l'étoffe pour venir se réchauffer à la douceur de la peau de ses reins.
Emotion qui répond à l'émoi.
Il savoure la béatitude de l'instant, qu'il voudrait voir se prolonger, quand un cri de femme retentit non loin, suivit de la voix facilement reconnaissable de Jeanjean.

En quelques secondes il réalise, quitte son étreinte à regret, lui murmure avant de se lever.

Surveille mes arrières, cela risque de mal tourner.

Regard vers la hache, s'il s'en saisit cela finira dans un bain de sang, pas la meilleure solution pour la suite........en quelques pas il est sur le couple. Malgré sa taille respectable le situant bien au dela de la moyenne, le ruffian lui rend une demi tête, l'échange risque d'être musclé.

Dis donc mon gros tu veut peut être un coup de main?

Posté par jeanjean le: Mer 28 Nov 2007 20:32 Sujet du message:

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Jean jean sursauta légèrement en entendant du bruit, se retourna puis sourit à Brise.

"Nan ça devrait aller. El'aime tapper mais elle est fluette. Merci l'ami."

Le guerrier s'apprêtait à se laisser tomber près de la jeune femme, lorsqu'il ajouta :

"Pour l'déplacement, j'te laisse la place dès qu'j'ai fini. Mais si tu pouvais t'reculer. Moi ça m'dérange pas mais les pucelles en général, z'aiment pas qu'on soit deux en même temps."

L'instant d'après Jean-jean se retrouvait sur l'herboriste à moitiée sonnée, une main furtive sous ses jupes, ses dents mordant la chaire tendre du haut de la poitrine visible à travers le vêtement déchiré.

Posté par Eudes le: Jeu 29 Nov 2007 01:53 Sujet du message:

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Il court il court, le furet…
Il voulait épier Brise, le voilà tombant sur Jeanjean en train de violer la toubib. Son premier réflexe est d’oublier aussitôt. Les accouplements dans ce camp ont parfois été incertains et pas toujours consentis. C’est un peu la loi en briganderie. Parfois il y a convoi de ribaudes, qui vient pour la circonstance, dûment affrétée par une maquerelle recommandée. Parfois, la femme est plus rare, et circule. Une compagne d’un soir séduite fait le bonheur de quelques amis, ce sera à charge de revanche.
Mais là il s’agit d’une personne à part, et si elle rentre chez elle, elle ne laissera pas passer. Le mieux serait de la tuer, mais on risque de la chercher. Pour l’instant c’est une affaire privée avec le baron, et la maréchaussée a à faire.
D’un autre côté, cela semble faire tellement plaisir à Jeanjean…
Finalement, le furet se dit qu’il y a eu assez d’histoire de baisers. Il sait que le colosse a la tête dure et qu’un choc cérébral sous entendrait un cerveau, ce qui est peu probable. IL faut donc frapper fort.
Il le fait du pommeau de l’épée. A la base du crâne, en prenant soin d’éviter la nuque. Juste au-dessus.
Jeanjean s’affale sur Vyvianne, l’écrasant de tout son poids.

" J’esspère que vous vouliez lui échapper. Entre nous… avec les femmes on ne sait jamais trop ce qu’elles veulent. Dépêchez vous de vous dégager, je l’aime trop pour le frapper une seconde fois."

Posté par Vyvianne le: Jeu 29 Nov 2007 10:10 Sujet du message:

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Vyvianne vit la lèvre de Jean Jean, un peu ensanglantée, elle jubile... elle a réussi à l'atteindre...

Victoire de courte durée, elle sent une douleur atroce et violente dans sa mâchoire... Des étoiles apparaissent à ses yeux... sa robe est déchirée, mais pas le temps de s'en apercevoir que son cou est serré entre ses mains...

Etouffement, elle panique, les jambes vont dans tous les sens essayant de l'atteindre pour qu'il relâche l'étreinte...

Enfin, il la lâche, elle tombe de tout son poids sur le sol... en toussant... pour reprendre sa respiration...

A demi-consciente, elle n'a pas même pas vu que Brise était arrivé et que c'est lui qui demande s'il peut aider Jean-Jean...

Lorsqu'elle entends qu'il lui demande de l'aide, elle se dit que sa dernière heure est arrivée, ils vont se mettre à 2 sur elle...

Puis elle commence à reprendre ses esprits mais la brute vient sur elle, peser de tout son poids sur son corps... fouillant sous ses jupes, mordant sa chaire tendre...

Ca y est sur, elle pense qu'elle va y passer... que tous le camps va passer sur elle...

Et puis tout à coup, un coup sur la tête de la brute le fait s'affaler de tout son long sur elle...

Besoin d'air... et la voix du furet se fait entendre..

Elle essaie de se dégager, espérant qu'il viendra l'aider, la brute pèse son poids...

Posté le: Jeu 29 Nov 2007 12:16 Sujet du message:

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Alors qu'il va attraper le colosse par les oreilles pour le forcer à lâcher prise, le fureteur surgit, dégaine son épée en se penchant sur Jeanjean pour l'estourbir un instant.

Un peu surpris de la réaction d'Eudes, il en profite néanmoins pour empoigner le corps inanimé du géant , malgré sa propre puissance musculaire il doit faire un effort vigoureux pour dégager son amie de la masse inerte qui pèse sur elle.

Râle peste, mais finis par faire rouler le corps et libérer Vyviane du poids qui l'oppresse.
Il va rapidement chercher une couverture pour la lui donner avant de l'aider à se relever.
La prend doucement par les épaules pour l'entraîner plus loin.

Ca va aller?
Je suis désolé de t'avoir entraîné dans cette galère .

Posté par Vyvianne le: Jeu Nov 29, 2007 12:58 pm Sujet du message:

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D'oppressement, c'est enfin à la libération que passe Vyvianne...

Elle avale de grands bols d'air... Frigorifiée, elle sent enfin la chaleur de la couverture sur son corps...

Une main bienveillante l'aide à se relever, et c'est là qu'elle aperçoit Brise... Un pâle sourire arrive à ses lèvres... puis elle se déplace entrainée par Brise... mais avec difficulté, dans sa chute, elle a du heurter des cailloux, son corps est douloureux...

La douleur au menton reprends... elle tremble de tout son être...

Non, ça va pas...

Elle boite légèrement, dans sa chute, elle a du se faire une entorse à la cheville ou autre chose...

J'ai mal de partout...

Son visage se crispe, ses yeux se voilent et des larmes de douleurs commencent à apparaitre...

Posté par Brisenuque le: Jeu Nov 29, 2007 1:29 pm Sujet du message:

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Alors que eudes les regardent un sourire narquois aux lévres, il entraîne son amie loin du réveil de Jeanjean .

Elle boite bas, il passe d'abord son épaule sous son bras, mais bien trop grand pour elle cela ne l'aide guère. Des larmes de douleur apparaissent aux coins de ses yeux.
Il la souléve alors dans ses bras pour l'emmener vers l'endroit ou ils ont dormis avec Malanguise.

Sommes toute cela n'est pas plus mal que ce soit Eudes qui ait assommé le gros, moins de baroufs sûrement à son réveil.
En attendant il doit s'occuper de Vyviane, c'est par sa faute si elle est ici et maintenant blessée.

Ou a tu mal Vyviane?

Il dépose délicatement la jeune femme au sol le dos appuyé à un tronc d'arbre.

Posté par Cassandre le: Jeu Nov 29, 2007 4:15 pm Sujet du message:

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Cassandre cherchait Vyvianne, et c'est sur Jean-jean qu'elle tomba. L'expression était on ne peut plus vraie.

L'idiot était étendu dans les hautes herbes qui bordaient la rivière et son corps n'était guère visible. La jeune femme cherchait des yeux l'herboriste, elle avait le nez en l'air, et ne vit pas sa grande jambe.

Elle s'effondra sur le dos de la brute, reconnaissant aussitôt le guerrier aux mœurs si violentes.

"Pardonnez moi, excusez..."

Comme elle se confondait en excuses, Cassandre se relevait en touchant son ventre, craignant en plus d'avoir réouvert la plaie. Elle était déjà à quatre pattes, sur le sol, s'éloignant du guerrier qui n'avait pas bougé.

Intriguée, elle revint vers lui, pensant qu'il dormait et que l'animal ne l'avait même pas sentie lui tomber dessus. Elle allait se retirer en silence, lorsqu'elle vit un peu de sang couler du crâne de Jean-jean.

Mort ?

Se pouvait-il que l'un d'eux soit déjà puni ?

Elle posa alors deux doigts dans son cou massif et sentit les battement de son cœur. Il n'était qu'évanoui. Ne réfléchissant pas plus longtemps, elle s'empara d'une belle pierre qu'elle cala bien dans le fond de sa main.

"Pardonnez moi Aristote, pour ce que je vais faire."

Elle abattit la pierre sur la tête de toutes ses forces. Un craquement sinistre raisonna. Elle se pencha alors à nouveau sur Jean-jean, reposant deux doigts sur son cou pour savoir s'il était encore en vie...

Posté par Brisenuque le: Jeu Nov 29, 2007 6:58 pm Sujet du message:

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Maigre sourire de vyviane qui semble souffrir, il se tourne vers malanguise pour lui demander de venir voir la cheville de son amie qui semble gonflée.
Faudra quand même un jour qu'il apprenne quelques rudiments de soin....

Un mouvement ou se trouve Jeanjean attire son regard. Il reconnaît Cassandre qui a buté sur le corps de Jeanjean assommé qui se relève a moitié , tenant au creux de la main..........

Il va pour hurler non, mais se retient ce serait attirer l'attention sur ce que va faire la jeune femme. Il est trop loin pour arriver à temps, il ne peut qu'assister à la nouvelle folie de Cassandre.
Il grimace quand la main s'abat, son regard parcoure l'endroit, personne d'autre que Malanguise et Vyviane n'ont put voir, mais il ne sait ou est passer Eudes, il est pour l'instant invisible , mais bien capable de les épier.

Si c'est le cas la none vient de signer son arrêt de mort en faisant ce geste. Eudes cette fois tient une excuse en or , pour l'abattre.

Reprenant ses esprits il se précipite , alors qu'avec un sang froid stupéfiant Cassandre est en train de vérifier les conséquences de son acte.
Sans lui laisser le choix, il la saisit pour l'entraîner immédiatement vers les deux autres femmes.

Mais tu es complètement folle, si jamais l'un d'entre eux t'a vu tu es morte. Tudieu mais tu a le diable au corps toi c'est pas possible.

Il est visiblement en colère, car il sait qu'il ne la laissera pas se faire exécuter sans réagir.
Mais pourquoi diable faut il qu'il se mêle toujours de ce qu'y ne le regarde pas.

Prie puisque tu sais le faire qu'aucun mercenaire ne t'es vue, si tu es dans les petites papiers d'Aristote c'est le moment ou jamais.

Posté par Malanguise le: Jeu Nov 29, 2007 9:18 pm Sujet du message:

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Malanguise se penche vers la cheville de Vyvianne :

et bien tu l'as échappée belle , poupée ..encore une poignée de secondes et le jean-jean te donnait le compte , en nature s'il vous plait .
j'avoue que le Jean-jean ...même les yeux fermés ....c'est pas terrible.

Elle lui sourit, essaye d'être réconfortante . Mais son attention est attirée , Brise s'est précipité vers le corps de Jean-jean qui git un peu plus loin .
Elle aperçoit Cassandre penchée sur lui .
Brise la saisit et la ramène vers elle .

Prie puisque tu sais le faire qu'aucun mercenaire ne t'es vue, si tu es dans les petites papiers d'Aristote c'est le moment ou jamais.

Malanguise jette un regard sans équivoque à la nonne puis lance à Brise :

qu'est ce qu'elle a fait encore la drolesse , l'en a pas eu assez ?

puis à Cassandre

dis moi toi, tu as la vie chevillée au corps on dirait ...le Malin n'a pas voulu de toi ?

Posté par Vyvianne le: Ven Nov 30, 2007 10:13 am Sujet du message:

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Assise contre ce tronc d'arbres, Vyvianne reprends totalement ses esprits... La douleur est diffuse dans la cheville, mais au repos, cela va mieux, mais elle ne va guère pouvoir se déplacer...

Comment fuir dans ces conditions ?

Brisenuque l'a éloignée de cette brute et Malanguise s'occupe d'elle...

Brise, merci de ton aide. Malanguise, je crois que je vais avoir besoin de tes compétences, ma besace est restée dans la tente de la nonne...

Mais à peine le temps de s'exprimer que Brise les a quitté pour ramener la nonne auprès d'elles deux.

Malanguise s'inquiète de ce qu'elle a fait... Vyvianne s'inquiète pour elle, ... et la regardant en tentant de sourire...

Comment va votre ventre ? et vous ?

Posté par Cassandre le: Ven Nov 30, 2007 10:26 am Sujet du message:

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Cassandre allait approcher deux doigts du cou de la brute, lorsqu'elle se sentit happée en arrière. Elle craignit un instant de lever les yeux sur Guillaume, et un soupir de soulagement s'échappa de ses lèvres lorsqu'elle reconnut Brise.

"Vous m'avez fait peur..."

Elle n'a pas le temps de finir sa phrase, qu'il la coupe, en colère, allant jusqu'à blasphémer. Le diable au corps ? Elle, une servante d'Aristote, il ne faudrait pas tout confondre.

Il la ramène près de la tueuse et de l'herboriste qui semble avoir une douleur au pied. Et voilà que la meurtrière l'interpelle maintenant.

"Il faut croire qu'Aristote a décidé que la mauvaise graine dans votre genre ne pouvait me tuer. Allez vous opérer l'herboriste d'une dague dans le ventre, comme pour moi ?"

Sourire ironique à Malanguise avant de se retourner vers celle qui l'avait sauvée.

"Je n'ai pas vos dons de guérisseuse, damoiselle, quand je vois ce que vous avez fait de cette blessure, mais permettez que je regarde votre cheville. J'étais en mon couvent, l'apprentie de la Sœur Infirmière. Me le permettez vous ?"

Regard doux, sourire chaleureux qui redonnent à Cassandre cette candeur qu'elle avait encore, il y a quelques semaines, avant qu'on ne l'enlève de son couvent.

Posté par Vyvianne le: Ven Nov 30, 2007 10:48 am Sujet du message:

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Cassandre ne répond pas à la question de vyvianne, mais peste plutot contre Malanguise... Malanguise, vouloir la tuer, peut-être après tout, mais elle s'est ensuite rachetée en l'aidant à stopper l'hémorragie de Cassandre...

Vyvianne veut le lui dire, mais à quoi bon envenimer les choses ? Et puis, maintenant, à priori, ils sont tous dans le même camps...

Leur seul but à eux 4 : s'en sortir vivant et indemne... Vyvianne les regarde tour à tour, ah, ils sont pas en grande forme tous :

Brise, a été recousu hier,
Cassandre est assez pale, bien que souriante quand celle-ci s'adresse à elle, elle qui est à priori incapable de se déplacer pour le moment...

Pour votre blessure, sans l'aide de la mauvaise graine comme vous dites, vous ne seriez plus de ce monde...

Elle s'est lancée, tant pis pour les conséquences... Si ils veulent s'en sortir, il faut qu'ils soient soudés... Sourire de réconfort à Malanguise...

Faites pour ma cheville...

Vyvianne veut montrer sa cheville mais le fait de la déplacer juste d'un pouce lui fait mal et sur son visage se lisent des traces de douleurs...

Chacun son tour, je crois...

Maigre sourire sur son visage, pour remercier Cassandre...

Posté par Cassandre le: Ven Nov 30, 2007 3:34 pm Sujet du message:

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"Elle peut bien m'avoir sauvée après m'avoir poignardée..."

Cassandre attrape le mollet, pose le pied au sol et dénoue rapidement la bottine.

"Je risque de vous faire mal en ôtant votre chaussure, mais je dois savoir si c'est cassé ou pas."

La jeune femme enleva la bottine d'un geste sec pour éviter de faire souffrir inutilement sa patiente. Elle baissa le bas de laine, avant de découvrir une cheville enflée et dont la couleur légèrement violette n'annonçait rien de bon.

Cassandre posa deux doigts très doux sur le renflement, et tâta avec la légèreté de l'habitude.

"Vous avez de la chance, je ne connais que très peu les plantes en revanche les plaies et les bosses, j'en ai soigné bien des fois. Je pense que ce n'est que déboîté. Je peux vous le remettre en place en deux trois mouvements. Ce sera douloureux et après il vous faudra une athèle légère pour quelques jours. Vous devrez éviter de poser le pied sur le sol."

Cassandre reposa doucement le pied à terre.

"Vous pouvez aussi demander à Guillaume qu'il vous libère et consulter un praticien au village."

Posté par Guillaume le: Ven Nov 30, 2007 4:57 pm Sujet du message:

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Guillaume justement arrivait.
Mais la remarque de Cassandre le laissa de marbre. La colère montait en lui, maistenait au fait que l'on se souciait de la cheville de la praticienne et non de Jeanjean gisant à proximité.
Sa voix laissait transaparaître fureur et anxiété.

- Sait-on au moins s'il est est en vie?

Il se précipita, s'approcha du corps de son ami, remarqua alors le sang qui perlait toujours depuis son front...

- Jeanjean! Non! Non!

Puis un cri dément, jailli de ses entrailles:

- NOOOOOOOOON

Il était agenouillé près de son ami, dégageant sa cotte, déchirant sa chemise pour placer une oreille sur sa poitrine. Mais ce qu'il entendait provenait-il du coeur du géant ou était-ce son propre sang qui battait la chamade à ses tempes?
Il se releva, irrésolu, le regard perdu dans le vide, les pensées lointaines. Que Jeanjean meure au combat, c'était probable, il ne pourrait toujours s'en sortir compte tenu de sa prise de risques habituels. Mais qu'il passe l'arme à gauche assommé par un compagnon d'armes, voilà qui n'était pas supportable.

- S'il n'a pas survécu, il faudra trouver les coupables, et ceux-là paieront très cher.

Il ne dit plus rien, espérant manifestement que l'herboriste vînt livrer un diagnostic définitif. Comme il désespérait, il nota une bosse sous les braies du colosse.
Guillaume sourit. Jeanjean était encore en érection, n'ayant pu se satisfaire sur la toubib et cela indiquait que le sang circulait.

Posté par Brisenuque le: Ven Nov 30, 2007 5:01 pm Sujet du message:

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Il évite de se mêler des quelques remarques acerbes des unes et des autres, comme si c'était le meilleur moment pour cela.

Il surveille un moment les environs, mais aucunes réactions pour l'instant, il a attacher néanmoins à nouveau la grande hache à son dos, ca peut servir à tous moments maintenant.

Cassandre parle d'une cheville déboîtée, c'est bien leur chance Vyviane ne pourra marcher pendant plusieurs jours, un instant il avait pensé filer avec les trois femmes, mais avec une none convalescente et maintenant une Vyviane ne pouvant plus marcher, c'est bien compromis.

Un seul espoir mais bien maigre qu'il arrive a faire croire que l'état de Jeanjean vient du coup de Eudes. Mais il n'y croit guère et appréhende la découverte du corps de Jeanjean qui peut survenir à tous moments.

Cassandre propose de remettre la cheville, opération douloureuse.

Il préfère laisser les femmes gérer cela continuant d'observer.

Mais comme il le craignait c'est Guillaume qui s'approche, se penche sur le corps de son lieutenant, peste, gromelle , promet de punir les coupables.
C'était à prévoir, déjà sa main glisse lentement vers la hache au cas ou, mais voila que l'homme se reléve un fin sourire aux lévres.
Le mouvement s'arréte quand il comprend que Jeanjean doit petre encore en vie.
Si Eudes n'a rien vu, eux seuls sont au courant, si aucun ne se trahis cela devrais aller.

Il avance vers guillaume.

L'a eut la main lourde le fureteur dis donc.

Posté par Jean jean le: Ven Nov 30, 2007 7:59 pm Sujet du message:

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Douleur sourde sur le crâne. Il ignorait qu'il pouvait avoir mal dans cette région de son corps. Que c'était-il passé ?

Il n'a pas encore ouvert les yeux, sent juste qu'il est allongé sur le sol, la face contre terre et... il entend Guillaume gueuler un énorme non qui lui retendit dans l'espace vide entre ses deux oreilles. Mais qu'est ce qui lui prenait encore au Chef.

Péniblement il entrouvrit les paupières et vit tris anges blonds au loin. Alors c'était ça, il était mort. Étrange il n'aurait jamais cru atterrir chez Aristote si jamais toutes les sornettes des curés étaient vraies.

"Bordel, je suis crevé, j'ai mal aux couilles, y'a trois anges, et aucun qui va m'aider pour ça. C'est ça ta punition Aristote ?"

Jean-jean ouvre un peu plus les yeux et croise le regard de Guillaume.

"T'es mort aussi ?"

Puis le guerrier reporte ses yeux vers les anges et constate que ce sont les trois blondes. La voleuse, la nonne, et sa toubib.

"Holà, voir des anges de ses trois diablesses, j'suis vraiment con."

Éclat de rire qui lui vrille aussitôt la tête comme il tente de se redresser.

"Qu'est ce qui s'est passé ? J'ai un mal de chien !"

Posté par Vyvianne le: Sam Déc 01, 2007 1:20 am Sujet du message:

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"Vous pouvez aussi demander à Guillaume qu'il vous libère et consulter un praticien au village."

Demander à Guillaume qu'il la libère pour une cheville, vu l'air courroucé qu'il a eu en voyant Jean jean inanimé au sol, elle doute fortement qu'il acceptera...

Heureusement, Brise essaie d'arrondir les angles en insistant sur la quelque peu brutalité du fureteur, l'air de rien...

Elle a pas le choix, et vu ce qui s'est passé autant faire le moins de vagues possibles...

et, pour couronner le tout, voilà que la brute épaisse se réveille... Dommage, finalement Cassandre n'avait pas sonné assez fort, mais au moins cette fois-ci, elle n'est plus seule face à lui...

Regardant Cassandre, sa décision est prise...

Je vous fais confiance, de toute façon, je pense que si vous ne faites pas cela correctement, la mauvaise graine comme vous dites, s'occupera de vous, n'est-ce pas Malanguise ?

Se penche vers Malanguise.

Malanguise, donnes-moi un bâton que je mordes dedans pour soulager la douleur... la rates pas si elle rate son coup...

Les derniers mots ont été prononcés tout bas pour faire en sorte qu'il n'y ait qu'elle qui puisse entendre...

Avant de mettre le baton en bouche, elle se retourne vers Cassandre...

Remettez-moi ma cheville en place...

Vyvianne lui a fait mal hier, l'espace d'un instant, elle pense que Cassandre a un bon moyen de prendre sa revanche, mais non, elle chasse vite ses idées-là... Ce qu'elle a fait hier sur cette femme, Vyvianne n'avait pas le choix.

Posté par Cassandre le: Sam Déc 01, 2007 11:34 am Sujet du message:

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Mais qu'est ce qu'ils avaient tous c'était la pleine lune ou quoi ?

La femme qui l'avait sauvée, en qui elle fondait ses espoirs ne valait pas mieux que les autres. Un château de pillards, des mercenaires assassins et des villageois agressifs. Décidément elle n'était pas habituée à ce monde.

Sans un mot, sans une douleur supplémentaire, elle prit le pied, lui fit faire un demi cercle et d'un geste assuré lui remit la cheville en place avec un craquement, somme toute obligatoire.

Cassandre n'avait pas digéré l'ordre et encore moins la menace. Elle n'était pas prête de rendre à nouveau service. Elle se propose de remettre une cheville en place parce que l'herboriste lui a sauvé la vie et voilà qu'on la menaçait à nouveau.

La jeune femme se releva et répondit tranquillement :

"Votre si précieuse amie saura sûrement mettre deux bouts de bois. Dame herboriste, je vous remercie pour les points, maintenant nous sommes quitte. La prochaine fois, gardez vos menaces pour vous. La mauvaise graine sait très bien s'occuper de moi d'une lame dans le ventre. Au déplaisir de vous revoir ! Vous trouverez sûrement ce séjour avec les bandits fort agréable vous en avez les manières."

En quelques enjambées, elle se atteignit Guillaume, en se dirigeant vers le centre du campement :

"Tout compte fait, je vous remercie pour vos manières, vous devez en avoir plus que les habitants du coin."

Elle repartit vers le campement sans attendre de réponse.

Posté par Malanguise le: Sam Déc 01, 2007 11:45 am Sujet du message:

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Cassandre est rentrée dans la tente , et se précipite sur Vyvianne se proposant de lui remettre la cheville en place .
Malanguise lui lance un sourire appuyé , ironique

Allez vas y nonette , montre nous ce que tu as dans le ventre ...j'ai pas eu le temps de tout voir lorsque je te l'ai ouvert .....

Puis se tourne vers Vyvianne , qui semble ne plus trop savoir à qui faire confiance ...s'apprête à aller chercher sa besace afin de lui porter son nécessaire mais jean-jean recouvre ses esprits et Malanguise craint que la bagarre ne dégénère à nouveau . Mais celui là pourra toujours courrir pour trouver quelqu'un qui s'occuppera de lui, Brise peut être et son grand coeur ......
C'est alors que Vyvianne lui demande un baton afin de supporter la manipulation que Cassandre souhait effectuer sur sa cheville qui a fort mauvaise allure .
Elle sort sa dague , et la tend à Vyvianne

Tiens Mignonne , mord ...elle en a vu d'autres, le manche est solide .

Puis elle s'installe derrière elle , lui atrappe les mains en passant ses bras autour de son corps .

C'est bon , elle est prête , mais ne viens pas te plaindre si ton ventre s'ouvre à nouveau et que tes tripes se répandent sur le sol . Et ne compte plus sur moi pour t'éviter l'enfer, cette fois ci .....

En un mouvement rapide et efficace à la grande surprise de Malanguise , Cassandre réduit la cheville de Vyvianne puis s'en va en maugréant.
Malanguise a à peine eu le temps de serrer Vyvianne dans ses bras , que la chose est finie . ne lui reste plus qu'à immobiliser la cheville .

Posté par Vyvianne le: Sam Déc 01, 2007 12:16 pm Sujet du message:

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Vyvianne prend la dague que lui a tendu Malanguise, d'un regard, elle la remercie...

Elle glisse le manche entre ses dents... se cale bien contre Malanguise... elle a confiance en Brise, brise a confiance en Malanguise, alors, elle préfère faire confiance à cette femme plutôt qu'en Cassandre... cette femme qui semble sortie de nulle part, elle se dit noble... pffff, la noblesse... Vyvianne n'aime pas cela... Que fait-elle dans ce camps au milieu de ces mercenaires ?

D'un geste de la tête, elle fait signe à Cassandre qu'elle est prête... mais c'est sans compter la rapidité de Cassandre...

En deux temps, trois mouvements, Cassandre a réduit sa cheville, les dents se serrent contre le manche... la douleur est diffuse dans celle-ci....

Ses dents se déserrent, lâchent la dague et elle crie pour soulager la douleur...

Puis se détends... remercier Cassandre ? elle a pas le courage, épuisée par la douleur qu'elle vient d'avoir... et puis celle-ci part avant qu'elle ait pu réagir...

Elle se retourne vers Malanguise... maigre sourire...

Désolé pour ta dague... je crois que la marque de mes dents y est inscrite... Merci...

Elle regarde alors Malanguise s'affaire autour de sa cheville pour l'imobiliser... Et relevant sa jupe, elle arrache un morceau de son jupon qu'elle lui tends.

Tiens, pour fixer l'atèle...