Du haut de la dune du Pilat

Posté par Cassandre le: Mer 31 Oct 2007 13:25 Sujet du message:

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Cassandre sortit de la pinède et vit une dune au loin.

Toujours personne derrière elle, et le soleil n'était pas encore levé.

"Encore un effort, ma grande. D'en haut tu verras où aller."

L'ancienne nonne était complètement déboussolée. Ses forces n'étaient pas au mieux, elle était perdue et elle était persuadée que quelques brigands la cherchait.

"Il te faut retrouver cette ville, puis partir loin..."

L'ascension se révélait difficile, le corps plié vers la dune, le ciel poursuivant son changement de couleur vers les tons rougeoyants, Cassandre n'était pas loin de croire qu'elle montait vers le Paradis, rejoindre Aristote.

Le souffle commençait à lui manquer, son épaule la lançait, elle fit une pause à mi-parcours. Elle s'assit dans le sable, ses yeux fouillant la pinède de peur d'y voir le mouvement des chevaux de ceux qui la poursuivraient.

Posté par Cassandre le: Jeu 01 Nov 2007 15:47 Sujet du message:

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Cassandre avait repris son souffle et elle se releva peiniblement. Il lui fallait gagner le sommet de la dune. Elle croyait entendre le bruit des vagues, sentait l'air marin lui fouetter le visage et le courage revenait en elle.

Pour l'instant, encore aucun mouvement dans la pinède et il lui fallait encore monter.

Le corps courbé, s'aidant de ses mains dans le sable pour ne pas tomber, elle progresseait lentement comme le soleil commençait à se lever.

Comme elle s'engourageait toujours :

"Allez Cassnadre, la liberté ça se gagne, ma grande..."

Elle vit une petite hutte, décida de ne pas s'yarrêter pour atteindre le sommet de la dune comme le ciel se levait.

Souffle coupé, elle resta un instant, la bouche ouverte comme le soleil apparaissait à l'horizion. Son premier levé de soleil de femme libre, se faisait sur l'océan qu'elle voyait pour la première fois.

Cassandre admirait le paysage que la nature lui offrait. Etalement des violets de fin de nuit, rougeoyant sur la ligne d'orizon, losrque le ciel et la mer se rejoingnent, pour voir apparait l'astre solaire qui commençait à se refléter dans une mer qui se dorait.

Le vent s'engouffrait dans ses longs cheveux blonds dénoués, comme le goût du sel se déposait sur ses lèvres, y laissant un gout d'aventure. Devant ce paysage sublime qui l'appelait vers la liberté, elle se fit une promesse :

"Jamais plus eon ne m'enfermera ou l'on me dictera ma vie. A partir de ce jour, je ne suis plus que Cassandre ! Une femme libre."

Posté par Brisenuque le: Dim 04 Nov 2007 18:44 Sujet du message:

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Il a rejoint le Fureteur, les chevaux avancent au pas, se dirigeant vers la haute dune du Pilat.
Le chemin du village, évidement , c'est sans doute l'idée de la none, rejoindre La Teste.
C'est bien la dernière chose qu'il faudrait.

La fatigue commence un peu a se faire sentir, cela fait la deuxième nuit qu'ils ne dorment pas.
Les chevaux également sont fourbus, piaffant de plus en plus .

Le fureteur suit les traces sans un mot, précis dans son orientation, sur de ce qu'il fait.

Elle est loin à ton avis, lui demande t'il?

Il hausse les épaules en signe d'ignorance.

Posté par Cassandre le: Lun 05 Nov 2007 00:47 Sujet du message:

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Le soleil quittait la ligne d'horizon pour s'élever dans le ciel, que Cassandre rêvait encore à son avenir. Il était peut être de l'autre côté de ce vaste océan, sur un navire qui était au port.

Le port.

Voilà où elle devait se rendre. De la haut elle voyait les toits des habitations, les quais du port, maintenant elle savait où aller. Elle n'avait que la plage à longer.

"Allez ma grande ! Plus que la dune à redescnedre, côté mer, puis longer la côte jusqu'aux quais."

Posté par le Furet le: Lun 05 Nov 2007 01:05 Sujet du message:

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Le soleil commence à chauffer déjà. Eudes a la gorge sèche, mais l'odée lui fait plaisir. Il est à cheval, elle à pied, marche dans le sable, va devoir descendre dans le sable toujours.
Il stoppe sa monture.

Ho brigand!
Elle oblique légèrement vers l'ouesst. Quand elle arrivera au ssommet, elle n'aura d'autre choix que de prendre vers l'est, vers les terres. La pisste est facile à suivre, prends, là ssi tu veux, mais autant continuer à deux. Moi je prends la trasnverssale, et je prendrai celle de la dessscente. On ne peut pas rêver horizzon plus dégagé qu'une dune vue d'en haut.