Accueil : présentation de chaque personne

Je me nomme Cassandre de Blayac, fille de noblesse pauvre. Mon père, afin d'éviter de payer une dote, m'envoya à 8 ans au couvent où je devins nonne sans avoir d'autre choix.

A 23 ans, alors que mon cousin me faisait sortir pour soit disant élever ses filles, je fus enlevée par son ennemi, Guillaume un mercenaire notoire. Après bien des aventures nous parvînmes à Rastignac où un combat mortel s'engagea entre mon cousin, le baron de Rastignac et Guillaume. Ce dernier gagna le combat après une terrible révélation : il est le fils bâtard du feu Baron, le demi-frère de l'homme qu'il vient de tuer.

Je n'ai plus de famille et aucun désir de retourner moisir dans un couvent. Je m'installe alors à La Teste-de-Buch, le village que dominait le château des Rastignac. Guillaume, par compassion (amour, selon lui) y ouvre une taverne où il m'emploie un temps comme serveuse. Mon éducation ne me permet guère d'y être à mon avantage et je lui rends mon tablier en achetant une ferme et une boulangerie avec mes économies. Je deviens une bourgeoise respéctée de la ville puis du Comté où je m'investis en temps et en effort.

En remerciement je deviens Comtesse de Blayac et entre librement dans l'aristocrtaie du Royaume. Je me rends alors compte que j'aime Guillaume, qui malgrè ses efforts pour rester honnête et prêt de moi ne sera jamais un noble aristotélicien.

Par amour, nous embarquons sur un navire, laissant derrière nous un passé qui ne peut que nous séparer à la faveur d'un avenir que nous espérons heureux.

Je me nomme Enored, je suis arrivée d'Irlande, où j'ai eut un passé plutot mouvementé, il y a un bout de temps maintenant. Peu à peu d'ailleurs je me débrouille de mieux en mieux avec votre langue.

Aussi sauvage que mes landes natales, je n'aime pas parler ni de moi ni de mon passé.

Ce passé à cause de lui je suis recherchée... alors j'ai fuit. Fuit le massacre de mes frères et le courroux de nos ennemis, qui je dois bien le dire son assez nombreux.

Mon âge ? je ne saurais dire. J'ai oublié de compter les années.

Après avoir traversé la mer, j'ai débarqué sur une plage du nord, puis voyagé à travers le royaume de France. Je suis arrivée un matin en Guyenne où j'ai trouvé refuge un temps chez un curé qui parlait de mercenaires qui sévissaient dans la région.

Une nuit, il m'a chassée de chez lui, j'ai "trouvé" un cheval et nous avons parcouru des miles ensembles jusqu'à "tomber" sur le campement des mercenaires où j'ai apprit à connaitre Guillaume et ses hommes. Je me suis retrouvée plongée au milieu d'un combat qui n'était pas le miens, mais j'ai fini par embrasser leur cause sans vraiment savoir pourquoi. J'ai toujours fait confiance à mon instinct et là mon instinct m'a dis suis les. Je l'ai fait. Je me suis attachée à un colosse maladroit, brutal, violent mais qui a un coeur d'or quand il apprécie quelqu'un. Je me sens en sécurité à ses cotés.

Que vous dire de plus que ça ? Ha si, apres le départ de Guillaume et Cassandre, j'ai fuit la Guyenne, Jean-Jean m'a guidée vers les Flandres où nous sommes installés pour le moment.

Vous voulez en savoir plus ? venez me rencontrer mais je parle bien moins que ce que je viens de faire à l'instant.

Ze suis Edonice de Rastignac, la fille de mon papa et de ma maman. Ze suis née sur un bateau en mer. Un zour des pirates nous ont attaqué et maman m'a mise dans une barque avec son collier autour du cou. Maintenant ze cherche ma famille.

Guillaume...
Certains m'appelleront Guillaume de Rastignac, mais tout cela reste suspendu aux soi-disants révélations de feu le baron de Rastignac, tué par mes soins.
Des rastignc, je suis surout le responsable de l'extinction de cette engeance maudite, dont ne subsistent plus aujourd'hui que des bâtard(e)s.Dont moi peut-être, au premier chef.
Quant à moi... je me souviens d'un père et d'une mère aimants, et que l'Inquisition leur a fait payer de vivre en un village où ne pourchassait point les parfaits cathares.
Je me souviens d'avoir fait choix de briganderie, et d'y avoir gagné mes galons de capitaine mercenaire.
Je crois avoir tenté de mener vie honnête, par amour.
J'aime toujours, elle se nomme Cassandre, fut nonne lorsque je l'ai connue - je l'ai enlevée pus enlevée à son état de nonne - elle est devenue duchesse ensuite - je l'ai enlevée puis enlevée à son état de duchesse - elle m'a donné fille.

Felina.

Aucun souvenir de ses vrais parents, a été recueillie par une famille adotive et a vu ses deux grands frères partir loin d'elle.

-> « Enfance » :
Elle a un lourd passé qu'elle préfèrerait oublier. En effet, elle a été élevée à la dure. Ayant perdue ses parents très jeune elle a été confiée à des parents adoptifs.
Père violent, mère soumise et deux frères tous deux plus âgés qu’elle, elle a appris très tôt à se défendre. Une sombre histoire l'obligea à quitter sa Lorraine natale à l’âge de 15 ans. Son père ayant voulut une fois de trop abuser d'elle, Félina s'est défendue et l'a tué en lui fracassant le crâne avec une cruche en terre. Depuis elle fuit, accompagnée de sa fidèle jument blanche l'Alezane.
Elle sait user de ses charmes pour obtenir ce qu'elle désire. Elle ne recherche rien n'y personne. Seulement à survivre en ces temps difficiles.

La suite, elle a retrouvé Guillaume en Guyenne et a participé àl'assaut de rastignac. Leur chemins se sont séparés et elle a poursuivit la route seule. Devillepier son autre frère la rejoint et ne la quitte plus.

J'm'appelle Jean-jean car j'ai oublié mon nom pour sauver ma peau après ma première condamnation à mort. Ensuite y'en a eu 5. A partir d'la quatrième j'ai décidé qu' c'serait Jean, puis j'répète à chaque fausse mort. La dernière c'est Gui-gui qui m'a sauvé. J'sais pas pourquoi, on s'connaissait pas et j'ui ai jamais demandé.

(Rires)

Après j'ai suivi Guigui, partout sur les routes. On a tué, pillé, violé, enfin surtout moi, lui l'a une belle gueule. On a m'né la grande vie. Pis un jour y'a eu la nonne. On l'a enlevé pis le Gui l'a jamais plus été pareil. Parait qu'c'est l'amour.

Pis y'a eu ma rouquine, mon Eno.

L'Gui a encore enlevé la nonne, sont partis sur un bateau, suis resté avec Eno. L'est devenue la chef, moi j'compprends pas toujours tout. J'l'ai suivie dans le Nord...

Mais 'tention mon Eno, c'est la Femme, pas de celle qu'on culbute dans la paille. D'ailleurs la seule avec la nonne qu'jai pas eue. Et attention, c'ui qu'y touche, l'est mort.

(Prend sa lourde hâche à deux mains, regard menaçant)

Emeraude, rouquine d'à peine 17 ans aux yeux vert comme la Jade.
Mes origines resteront volontairement floues, vous les découvrirez au fur et à mesure de nos aventures.

Je peux juste dire que je fuis quelqu'un : LUI. Un homme à qui on veut me marrier de force.
Je suis partie le jour prévue de nos épousailles, dans le Nord, et j'ai atteri à Dunkerque dans le camp des mercenaires.

Blessée au bras lors d'une chute je suis restée avec eux, me liant d'amitié avec l'autre rousse : Enored.

Puis alors qu'elle est partie, il n'est plus restée que Jean-Jean qui me fait peur ... mais sûrement moins que CELUI qui me traque pour me mettre dans son lit.
Alors je le suis, pour je ne sais quelle raison.Je ne sais pas me battre, seulement hurler et pleurnicher.

Celui qui se fait appelé l'doc se nomme Henri Saint-Ségnan. Noble il ne l'a jamais été, mais il est issu d'une famille de riches commerçants.
Il a suivi des études de médecine, car ses parents étaient assez aisés pour les lui payer, ils voulaient pour lui un destin honorifique pour que leur nom brille au firmament.

Leur plan fut malencontreusement contrarié par Henri. En effet, alors qu'il était enfin médecin et un bon médecin d‘ailleurs, il fut introduit auprès des nobles familles. Le nombre de cas de goutte qu'il croisa, de crise d'urée, de saignées qu'il dut faire pour les soigner de leurs maux de riches, il ne les compta plus.

Jusqu'au jour où il rencontra Hélène, une jeune fille ravissante dont il tomba éperdument amoureux, sentiment réciproque d'ailleurs. Le seul souci était que cette jeune fille de la noblesse était destinée à un vieux baron. Henri ne pouvait pas la laisser entre les mains de ce vieux pervers, aussi une nuit il enleva sa douce.

Mais le destin est parfois cruel, ils furent vite rattrapés par les hommes du père d’Hélène.
Le vieux Baron fiancé de la belle défia le jeune médecin en duel, et comte tenu de son age, confia son épée à un lieutenant de l’Host. Henri était un escrimeur trop peu expérimenté et fut blessé au cours du duel et banni de la ville ainsi que par sa propre famille.

Ainsi commença pour lui une vie d’errance. Il suivait les armées du Roy, offrant ses services sur les champs de bataille afin de gagner sa vie. Il devint ainsi expert en chirurgie de guerre. Soigner les gens étaient sa passion depuis toujours, le regard qu’il recevait d’eux était sa récompense.

Un jour qu’il voyageait en mer entre deux combats, il tomba sur Enored et sa bande de pirates. Entendant le choc sur le flanc du bateau et les bruits venant du pont, Henri avait eu bien du mal à finir d’opérer un des passagers. Lorsqu’il s’apprêta à sortir de la cabine, la porte vola et il fut envoyé au fond de la pièce. Il entrevit deux hommes et derrière eux, une chevelure rousse. C’est elle, d’un seul coup d’œil au matériel que contenait la pièce et au patient alité et terrorisé, qui comprit vite qu’il pouvait lui être utile et arrêta ses deux chiens de garde, avant qu’ils ne le mettent en pièces.

Il n’y eut pas que sa raison qui poussa Henri à accepter de suivre la jeune femme, mais il l’apprécia au premier regard. Bannissant immédiatement la moindre idée d’une liaison, préférant une saine amitié. Son cœur était resté auprès d’Hélène, brisé à jamais.

Il conta son histoire à Enored, elle seule connaissait son vrai nom, tout le monde l’appelait l’doc, c’était mieux ainsi, son passé derrière lui….